dur dur quandmeme
Et si au contraire , tu te disais « Non , ce sera le 1er WE où je je ne boirai pas . » : Lundi tu serais extrêmement fière de toi , heureuse d’avoir réussi à franchir ce cap , et continuer à faire tourner ton compteur !!!Je ne peux que t’encourager à réflechir sur ce 1er(???) verre , car j’en ai fait l’amère expérience !!Bon Wenk End Indienne , tiens nous au courantindienne, résiste encore aujourd’hui, demain est un autre jour, un autre combat.stylo mont blanc occasion(bon ben si tu penses quand même à demain, pense à après demain, et comment tu seras heureuse de n’y avoir pas touché)il faut que tu te débarrasses de cette molécule (thp) que tu as dans la tête.(comme nous tous, malades alcooliques).le problème, c’est que boire une bière la fait revenir au galop (elle met quand même 3 mois à se faire la malle), et tous tes efforts d’abstinence qui précèdent ce verre, sont annulés.petite question : as tu un traitement ? as tu pris rendez vous avec un alcoologue ?Nos neurones sont des usines chimiques. Il y a dans leur circuit des émetteurs, des récepteurs pour de nombreux produits neurotransmetteurs. Mais il n’y a pas de récepteurs pour l’alcool (il y en a pour la nicotine par exemple: elle se fixe vite, ce qui crée une dépendance très rapide). Donc l’alcool ne sait stylo mont blanc prix pas trop où aller: il dérègle la machine. Quand on enlève l’alcool il faut du temps pour que la machine se répare: c’est plus long que le sevrage.Au début la dopamine (neurotransmetteur excitant) domine: c’est l’enthousiasme des premiers jours. On est invincible, ça durera toujours, etc.Mais assez vite (ou moins vite) le GabA, neurotransmetteurs déprimants, prennent le relai. Insidieusement l’enthousiasme descend. La déprime gagne. Et là il y a danger.Pour éviter ça il faut aider la sérotonine (neurotransmetteur qui régule dopamine et GabA) à faire son boulot en attendant que la machine soit réparée. C’est là qu’interviennent certains médicaments : on est juste bien. Ni déprimé, stylo mont blanc pas cher ni excité. On est tellement bien qu’on pense que le médicament ne fait rien: c’est justement qu’il fonctionne. Donc ne pas arrêter sans avis médical.